Du vélo en mains propres

Une crevaison, une chaîne qui déraille, un câble qui lâche, un frein qui se désajuste… à vélo, on risque toujours d’avoir à jouer les mécanos et de se mettre les mains dans le cambouis.

Pour ce faire, enfiler des gants chirurgicaux fait toute la différence : quand on ne craint pas de se salir, on travaille de manière beaucoup plus efficace; savoir qu’on ne salopera pas le guidon une fois la réparation terminée rend l’imprévu moins désagréable.

Toute bonne trousse de réparation de vélo devrait donc comprendre une paire de gants chirurgicaux, qui prennent un minimum d’espace pour un maximum d’avantages. En les choisissant, assurez-vous qu’ils sont bien ajustés : on perd beaucoup de dextérité avec des gants trop grands. Préférez des gants en nitrile, beaucoup plus résistants que ceux
en vinyle ou en latex. Bonne réparation!

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